Bonjour et Merci,
Monsieur Frédéric Ruby,
Nous devons tous mener un combat avec nous-mêmes, avec les autres... et quand parfois survient le combat de vivre, d'éduquer, d'aimer un enfant "différent" , sans que l'on s'y attende, comment s'y prendre dans cette société stigmatisée par la peur de la différence ? Cette fermeture d'esprit, l'inconnu, l'égoïsme, l'individualisme, l'indifférence.
Comme vous l'avez si bien narré, ils ne sont pas différents, ils sont extraordinaires et le fait de décider de rire, de dédramatiser, cela amène de la légèreté à la "lourdeur" le temps d'un instant pour mieux avancer et continuer le combat.
Vous me rappelez l'éducation, la "philosophie de vie" insufflée par mes parents.
Encore Merci.
Bien cordialement.
Margaux.
L'importance du médecin référent
Après l'annonce du handicap, et particulièrement dans le cas de maladies génétiques ou de pathologies lourdes, le parcours des parents se transforme souvent en marathon médical.
Le pronostic vital de votre enfant est réservé
On vous a peut-être annoncé que la déficience de votre enfant aurait pour conséquence une santé très fragile ou une espérance de vie courte.
La place du professionnel de structure petite enfance dans le processus d’annonce
A toute époque et en tous lieux, l’annonce du handicap d’un enfant a fait l’objet de réflexions, d’élaborations de protocoles pour faire face à cette situation douloureuse. Certaines sociétés rejettent l’enfant, la notre tente d’accueillir la différence.
Que/Qui peut m’apporter un soutien psychologique ?
Evoquer ces situations douloureuses, se faire accompagner et rompre avec l’isolement, peut vous permettre de mieux appréhender la vie au quotidien...